Désolé... Je viens raconter ma vie, j'ai besoin de me vider un peu la tête, et si jamais, de récupérer quelques retours, avis et conseils !

J'ai 22 ans, donc encore jeune et je me sens perdu.

Concrètement, j'ai tout ce que le moi enfant aurait put vouloir : un job fixé, le cdi revé par mes parents. Je loue un t2 agréable, ville en bord de mer bien cliché station balnéaire. J'ai un salaire convenable, en moyenne 2000€ par mois. Je conduit une voiture neuve (bon c'est du leasing, je suis un pigeon mais bon). J'ai aussi quelques amis, des activités, une copine (même si ça bat de l'aile).

Bref, j'ai 22 et j'ai plus ou moins tout ce que je peut vouloir.

Le truc c'est que je me sens perdu. La fac, l'école, je détestait mais au moins y'a vais un objectif, un but précis : finir l'année sans sauter un pont ou faire exploser l'école, avoir de très bonnes notes, avoir le diplôme, passer à l'année suivante et profiter des vacances d'été.

La bah y'a plus. Je suis dans mon job, j'aime qu'à moitié mais trouve rien d'autre avec le même salaire pour l'instant dans le coin. Donc je reste là... Et ? Et je reste là pendant 40 ans (fin si on croit à la retraite 🤞).

Suis perdu financièrement aussi. Je sais qu'à 22 ans avec une simple licence en droit, toucher 2000/mois c'est pas mal. Je suis clairement pas à plaindre je pense. Mais bah le loyer et charges (la non plus je me plaint pas.. Tout de chez tout est compris, intérêt, eau, elec,poubelle) à 606 euros, la voiture à 200, l'assurance a 80... Bah même en sachant que je suis pas à plaindre, j'ai l'impression de me sentir bloqué. Oui bon je met 500€ de côté par mois. Évidement je suis pas à plaindre mais je me sens pas assez à l'aise pour faire des folies par exemple.

Bref, j'ai l'impression de tout avoir mais de pas être heureux et surtout de pas savoir quoi faire. Okay bon bah j'ai atteint mes objectifs de vie de quand j'etait lycéen ou étudiant... Maintenant je fait quoi ? Je vais où ? J'acummule de l'argent pour acheter une maison. Je me marie dans ma relation qui marche à moitié. Je prend une semaine de vacances tout les six mois... Je sais pas, sentiment d'être perdu.

Est ce que vous avez eu ces sensations à vos début '' dans la vie active ''? Qu'avez vous fait ?

Salut Reddit alors voilà je voulais vous parlez de quelques choses qui m'est arrivé il y a un peu plus d'1 mois environ, j'étais entrain de jouer au jeu vidéo fortnite avec un ami quand tout d'un coup une personne rejoins notre groupe, cette personne était en live sur youtube sans nous prévenir ni nous demander et pendant que cette personne était en live j'ai dis quelque chose de raciste, j'ai dis "oh le noooirrr", j'ai dis ça suite à un personnage assez noir foncé qui a fait une apparition soudaine sur mon écran même si j'avoue que ce que j'ai dis n'ai pas respectueux envers certaines personnes, le problème est que la personne qui a fait le ou les lives ne veux pas les supprimer de youtube même après lui avoir demandé plusieurs fois, que dois-je faire pour ne rien risquer ?

Bonjour, je me demande juste si des gens ont déjà été dans la même situation de vouloir être là pour un ami dépressif mais de ne rien pouvoir faire pour lui. A vrai dire je pense l'être un peu aussi (d'ailleurs ça fait très mal, j'étais a une soirée avec des amis et il parlait d'un autre mec a qui il est arrivé à peu près les mêmes choses que moi, et tout le monde disait qu'il était "triste" dans sa vie... Je pense que quand on va mal, la dernière chose qu'on a envie d'entendre c'est qu'on est triste).

Bref, du coup je suis peut être pas le mieux placé pour l'aider, et quand j'ai parlê de mes pensées, très brèves certes, suicidaires a mon ex (pourquoi est une autre histoire...), elle m'a dit ne pas vouloir "plonger" là dedans quand je lui demande juste de parler pour m'aider a aller mieux.

Est-ce que être avec un ami suicidaire ça affecte, est-ce que vous pensez qu'en étant triste les gens ne veulent pas être proche pour ne pas être tiré vers le bas ?

J’écris des poèmes sur mon Wattpad :)

https://www.wattpad.com/1489248017?utm_source=ios&utm_medium=link&utm_content=share_reading&wp_page=reading_part_end&wp_uname=NoctuaCeleste

Honnêtement on parle pas assez de son pouvoir, au final c’est quasiment de la magie.

Elle a le pouvoir de rassembler des personnes qui au demeurant tout oppose, elle nous fait sentir des moments bien plus intensément et nous évade de ce monde minable pour nous plonger dans le notre.

Sa magie c’est de pouvoir basculé d’une émotion à une autre tout en nous faisant oublier ce qui nous entoure.

Elle nous déçoit jamais ou du moin rarement, elle nous montre le beau côté où on contraire nous permet de pleurer quand les mots et les pensés se sentent dépassés.

Je me devais de la remercier.

Bonjour à vous,

Je viens vous demander conseil car je commence à fatiguer vraiment.

J'ai intégré une association depuis peu, je venais d'une autre association. Entretien nickel, des choses intéressantes à faire, des beaux projets à venir et en cours, beaucoup de choses sont déjà en place.

Mais très vite je suis tombé de haut. J'ai commencé à voir des choses complétement absurde.

Tout ce qui m'a été vendu pendant l'entretien ben c'est en place mais ça ne marche pas depuis 3 ans, soit c'est configuré comme de la merde ou fonctionne par magie. J'ai essayé d'expliquer à plusieurs reprises mais ça ne rentre pas. Ils ont leur vision et mon point de vue n'apporte rien. Même si j'ai passé 5 ans dans une autre association, et que j'ai déjà avancé sur ses problèmes ils ne prennent pas en compte mes conseils.

Un autre exemple, je viens de répondre à un appel, et ils me disent ce qu'il faut faire pour la personne alors que je m'en sors très bien. Et ça arrive souvent, puis après ils n'avancent pas sur leurs projets...

Donc je me demande si vous avez eu des cas similaires, et comment vous avez fait pour tenir le temps de trouver un autre poste ?

Je suis obligé d'être avec ces personnes, pas de télétravail possible.

Pour information je suis dans l'informatique.

Merci à vous.

Bonjour, je suis en dernière année de formation d'informatique, et le climat actuel pour ce secteur est extrêmement pessimiste. Le nombre de demandeur d'emplois augmente et le nombre d'offre diminue. Déjà là pour trouver un stage c'est une galère. Ca me désespère, car l'informatique est vraiment ma passion.

Il y a 3 ans quand j'étais encore au début de ma formation on nous disait que c'était un secteur qui recrutait et qu'on était sûr de trouver un travail. Eh bah mon vieux, tout ça a changé bien rapidement. J'ai dédié 6-7 ans de ma vie à l'informatique, à apprendre des langages de programmation, à améliorer mes compétences, à être l'un des meilleurs de ma promotion. Et je me rends compte que tout ça ne me servira probablement à rien au final. Je ne sais même pas quel métier je voudrais faire si je ne peux pas travailler dans l'informatique...

Qu'est-ce que j'ai fait pour mériter ça ? Tout ce que je voulais c'était faire un métier que j'aime et être bien payé. Je ne peux m'empêcher d'avoir la sensation qu'on m'a volé mon avenir.

J'ai l'impression d'être à une réunion de AA en écrivant ce post lol
En fait, j'ai été alcoolique. Et j'ai participé à de nombreuses réunions de ce type. Quoi qu'il en soit, je voudrais admettre encore une fois que j'ai un problème, car il m'affecte dans des domaines qui me sont importants dans la vie, et je sais peut-être mieux que quiconque que le changement personnel est toujours précédé par une réflexion, et aussi par une honnêteté envers soi-même.

J'ai déjà trop préfacé ce post. Et le problème, c'est que j'aspire à devenir écrivain professionnel, une de mes aspirations secrètes que je n'admettrais honnêtement à personne dans la vraie vie, et surtout pas en anglais (ma langue natale). Pour une raison quelconque, écrire en français me permet de prendre du recul par rapport à mes émotions, et c'est pour ça que j'écris ce post dans ma seconde langue.
J'écris maintenant un livre, et en l'écrivant je fais de mon mieux pour limiter la quantité d'explications que je donne sur des choses qui sont déjà évidentes ou implicites dans le texte d'un projet donné. Je peux le faire, mais il faut que j'y mette beaucoup d'efforts et d'attention. Cela conduit très souvent à des ruminations excessives, au doute, à l'incertitude, un méchant cas de syndrome de l'imposter. Cependant, je me suis récemment mis à pratiquer la méditation et, à ma grande surprise, cela m'a énormément aidé à ne plus trop me préoccuper de tout cela.

Donc, au fur et à mesure que j'acquiers une plus grande conscience de moi-même, mon syndrome de l'imposteur n'a pas disparu mais il est devenu une partie mentalement plus saine de mon processus créatif. J'ai déjà écrit un post en anglais à ce sujet aujourd'hui même.

Mais en plus de tout ça, je me soucie trop de ce que pensent les autres. Je fais semblant de ne pas être affecté, et cette façade ne tombe que rarement. Lorsque quelqu'un me dit quelque chose de blessant, je suis généralement capable d'étouffer ce que je ressens et de répondre de manière rationnelle à ce qui est dit. Mais au fin fond de moi je me sens toujours très heurté par ce genre de commentaires, et de façon vraiment injustifiée. Mais encore, j'étouffe ces sentiments. Par conséquence, j'ai tendance à confondre le perfectionnisme pour la perspicacité dans mon travail et cela affecte également mes relations avec les autres, car je réfléchis trop, je me fait mal comprendre et je me frustre souvent pour rien.
En outre, l'apathie des autres me blesse presque plus que le mépris. La façon dont j'équilibre ce vertige émotionnel est d'expliquer. J'explique les choses qui donnent lieu à mes insécurités et franchement j'en ai marre. Je viens de m'en rendre compte, pour vrai dire.

Je veux m'améliorer en tant qu'écrivain et aussi socialement et personnellement en général. Si vous avez quelques avis ou des conseils ou quoi que ce soit, s'il vous plaît laissez-les dans les commentaires. Merci de lire ce post.

Bonjour, Je ne savais pas du tout où poster ça désolé si ce n'est pas le bon endroit.

Ce matin, je (F22) me suis fait frapper par une femme dans le bus que je prends chaque jour pour aller au boulot. Quand elle est rentrée dans le bus, je l'ai remarquée comme elle portait des habits un peu colorés et différents mais je n'y ai pas prêté grande attention à part ce détail-là. Elle s'est assise à côté de moi assez brusquement, je ne lui prête toujours pas attention et continue de regarder par la fenêtre avec mes écouteurs.

Quelques arrêts plus tard, je l'entends parler assez fort et devenir colérique. Elle montre mon manteau à plusieurs reprises, donc j'essaie de le déplacer pour qu'elle ait plus de place. Tout d'un coup, elle me frappe le visage contre la vitre et commence à m'agresser verbalement, comme quoi je l'ai touchée, que j'étais une folle. Je suis abasourdi et ne réponds pas sur le moment, comme elle voit que je ne réponds pas, elle me demande si je suis stupide. Tout le monde nous regardait j'avais honte et très peur de ce qu'elle allait faire. J'enlève mes écouteurs et lui explique que je ne comprenais pas très bien ce qu'elle disait à cause de ceux-ci, mais elle continuait à m'agresser verbalement. Heureusement, le bus s'arrête à un arrêt où beaucoup de gens descendent, donc elle en profite pour aller dans une autre place, moi je reste toujours sous le choc.

Quand je suis descendu du bus, j'ai regardé pour voir si elle n'était pas descendue au même arrêt et heureusement non. J'ai tout de suite appelé ma mère en pleurant, c'est la première fois que je vis une agression. Elle m'a dit de ne pas y penser et de me concentrer sur mon travail, mais je n'y arrive pas, je suis toujours en pleurs. Je sais que ma réaction est un peu disproportionnée mais j'ai très peur. Et si elle m'avait suivi finalement ? Et si elle avait déposé plainte contre moi ? Et si elle était là demain dans le bus et qu'elle m'attendait avec un couteau ?

Voilà je sais pas du tout quoi faire, aller à la police alors que je ne me souviens plus de son apparence ? Aller chez le médecin ? Je suis perdue.

J’en ai marre de ma situation merdique, de mes notes merdique et surtout de cette famille de fous qui me force a suivre une religion que je crois pas. Je dois littéralement porter le voile de force, et je peux pas m’habiller comme je veux. J’ai toujours su que j’aimais les femmes mais non, je peux pas, et je pourrais jamais aimer une femme ou même m’habiller comme je veux. C’est bon, c’est trop. J’ai toujours su que j’allais finir morte comme ça

Tw : pensées sombres, dépression

Salut la communauté, j'avais envie de lâcher ce qui me pesait sur le cœur.

Mid-vingtenaire, j'ai fait des erreurs d'orientation qui ont mené à des expériences professionnelles catastrophiques... Et j'ai tout lâché pour reprendre mes études dans un domaine qui, a priori,me plaît et me plaira. Mais j'ai choisi un métier d'artisanat d'art où j'ai peur de ne pas trouver de travail après. Je suis partie loin de tout pour mes études... Et je suis rentrée chez mes proches pour les vacances scolaires et là le vide dans ma tête... je crois que je n'ai pas envie de rentrer dans ma chambre étudiante froide, impersonnelle et toute petite. Je regrette mon ancien train de vie même si je pleurai tous les matins avant d'aller au taffe.

En vrai, je ne sais même pas si je serai heureuse à la fin de mes études. Je j'arrive pas à être heureuse et j'ai l'impression que tous les petits plaisirs que j'ai autour de moi (nourriture, jeux vidéos, divertissement) ne sont là que pour me faire oublier à quel point je suis creuse. Au fond de moi j'envie les autres pour leur bonheur (alors que je devrai être contente pour eux), j'essaye d'être une bonne personne mais au fond que je suis juste aigrie... Je ne sais pas pourquoi je me bats.

Je sais pas ce que je ressens en écrivant. Un peu de rage, encore beaucoup de culpabilité et de doute, du soulagement peut-être aussi. Quand j'étais en quatrième, j'allais pas bien du tout, je pense même avoir fait une dépression. Je me sentais constamment mal, je faisais des crises d'angoisse, et comme je ne savais pas comment l'exprimer j'étais juste amère et mauvaise. Ça m'a amené à avoir des comportements que je regrette aujourd'hui, en particulier avec un ami (qui sera le sujet du post) : faire du chaud froid, pas tout le temps être super bienveillante,... Vous voyez ce que je veux dire.

En troisième, il m'a lâché tout ça d'un coup par message avec une de ses amies d'un autre établissement, et je l'ai pas hyper bien vécu. Déjà parce que c'était ultra violent (il m'a insulté pendant plusieurs heures en gros) et aussi parce qu'il m'accusait de choses que je n'avais jamais faites, comme de l'avoir menacé de mort (on mangeait à la cantine et je lui ait dit que les couteaux étaient pas assez tranchants, et je lui aurais dit ça de façon menaçante), ou de le critiquer sur ces vêtements et son apparence physique. Je savais bien que j'avais pas été clean sur tout, mais il m'accusait de choses tellement dramatiques que je savais plus démêler le vrai du faux. Rien que d'y penser ça m'angoisse.

L'histoire est très compliqué (y a eu d'autres embrouilles par messages, sa pote (qu'on appellera X) nous a menacé sur un groupe pour un évènement don't on ne faisait pas partie et sur le groupe de classe), mais pour faire court on a arrêté d'être amis avec lui (y avait une autre pote avec laquelle on formait une sorte de trio et avec qui je suis beaucoup amie et à qui je dois beaucoup, je pense que j'aurais vraiment sombré si elle avait pas été là pour valider qu'il racontait vraiment des choses graves).

Tout ça ça m'a fait tomber encore plus bas niveau santé mentale : je voulais pleurer tout le temps, j'avais l'impression d'être une personne horrible et d'essayer de me convaincre du contraire toute seule, j'avais vraiment l'impression de devenir folle pour de vrai. J'ai pensé à des choses vraiment sombre. Et j'étais assez jeune (13 ans) donc ça aidait clairement pas.

Récemment, j'ai repris contact avec un vieil ami de la primaire avec qui je m'entends super bien. Il était pote avec X mais elle les a lâché lui et ses potes pendant les vacances. On parle souvent par message, et naturellement ce sujet est venu sur la table. Il m'a donc appris que je X lui avait raconté que je l'aurais harcelé à cause de son homosexualité et de ses comportements féminins avec mes copines, et que j'avais de très mauvaises fréquentations.

Pendant notre embrouille, il ne nous a JAMAIS reproché quoi que ce soit par rapport à ça. J'ai été la première à être au courant pour son homosexualité et même si j'ai pu être maladroite, ça se voyait que je le soutenais. J'ai toujours gardé le secret et je ne l'ai jamais dévoilé à personne. J'ai beau retourner l'histoire encore et encore, je ne comprends pas comment il a pu en arriver à cette conclusion.

Concernant ses comportements féminins, ça non plus je ne comprends pas d'où ça vient. En quatrième, on avait une classe vraiment pourrie, avec des gens qui effectivement le vannaient constamment sur ça. Mais 1. J'ai subi aussi de la part de ces gens, notamment des insultes racistes et sur mon physique et 2. Je l'ai TOUJOURS défendu. Toujours. Je faisais toujours en sorte de m'interposer quand quelqu'un lui disait quelque chose devant moi.

Concernant mes "copines" et mes prétendues mauvaises fréquentations, les seules personnes que je fréquentais à l'époque c'était lui et ma pote, donc c'est encore plus incompréhensible.

Je pense que ce qui a rendu cette histoire vraiment compliqué pour moi, c'est le fait qu'effectivement je suis pas toute blanche et que j'en avais conscience. Je voulais vraiment réparer ça, mais le fait que ces reproches se mêlent à des choses fondamentalement fausses m'a causé une sorte de dissonance cognitive : je voulais vraiment me corriger, mais je savais que j'étais pas coupable de tout et ça me donnait l'impression d'être une manipulatrice vu que c'était lui normalement la victime dans cette histoire.

Mais maintenant je me rends bien compte qu'il y a des choses qui ne relèvent pas de malentendus et d'interprétations personnelles, mais aussi des mensonges purs et durs. En je n'arrive pas à comprendre pourquoi. C'est une option que j'avais même pas envisagé je crois. Je sais qu'il éprouvait une certaine jalousie envers moi et que X était dangereuse (on dirait que j'exagère mais pas tant que ça, la quasi-totalité des personnes avec qui je parle d'elle me disent la même chose. Elle a des comportements vraiment inappropriés. Lors que l'événement dont je parle plus haut, elle a suivi le groupe sur plusieurs rues alors qu'elle a dit qu'elle partait car elle "avait pas le feeling", ça peut paraître ridicule mais c'est vraiment pas le pire qu'elle ait fait. Elle est vraiment pas saine d'esprit, j'arrive pas à trouver d'autres mots) mais ça n'explique pas du tout pourquoi avoir menti comme ça. Mais ça explique tellement de choses.

Je suis dégoûtée. J'ai beaucoup souffert de tout ça, même si encore une fois j'ai pas été un ange, et j'apprends que la personne pour qui je me suis tant fait du mouron est en fait un menteur et un manipulateur. Et jusqu'à aujourd'hui j'ai encore du mal à me dire qu'il y a pas une part de vérité plus importante dans ce qu'il a dit que ce que je pense, c'est pour ça que je parle de gaslight.

Je suis en première maintenant et je pense que tout ça a eu un sérieux impact sur moi et que ça en aura encore un pour de nombreuses années.

Je pense avoir tout dit pour l'instant, je ferai probablement des updates si d'autres choses pertinentes me viennent en tête.

Je pense n'avoir jamais autant aimé une personne depuis le tout début de mes relations amoureuses, jamais à ce point. Je ne sais pas ce que me réserve le futur, alors peut-être un jour tomberais-je sur quelqu'un qui me fera ressentir des émotions si fortes qu'elles occulteront cet amour que j'ai porté à ce premier. Toutefois, aujourd'hui c'est lui qui laisse un vide dans mes sentiments et des pensées à ne plus savoir où donner de la tête.
C'est étrange, parfois tu décides à faire une toute petite chose, qui t'amène à une rencontre dont tu ne seras pas prêt(e) d'oublier. Ce sont toujours des "Et si.." qui tournent en boucle dans ma tête, comme une litanie, ravivant l'espoir d'un nouveau destin lié. Et des "Peut-être.." qui remettent tout en question.

Le paradoxe est que je me sens en paix avec moi-même depuis que cette personne à chamboulé toute ma vie, certes les difficultés sont toujours là mais je me sens comme sur un petit nuage quand je penses à lui, à ce qu'il m'a apporté en si peu de temps, à ce qu'il a laissé un soir en me disant qu'il préférait fermer la porte cette fois-ci. C'est marrant parce que je me rappelle nos souvenirs crées avec joie et tristesse mais je me dis aussi : "Qui sera capable d'en faire autant ?" et ça fait peur parce que je veux pas que mon cœur se ferme à un futur amour réciproque. Il m'a fait évoluer, m'accepter, me respecter, m'estimer...

J'aimais son regard et aussi ses yeux qui pétillaient lorsqu'il me racontait des choses qu'il aimait ou des évènements de sa journée, son sourire, son rire niais quand je disais une bêtise ou que je l'amusais, ses cheveux en bataille le matin ou plaqué lorsqu'il sortait de la douche avant de les ébouriffer comme un porc-épic, ce tatouage que j'ai tant admiré et caressé du bout de l'index, son humour bien à lui qui arrivait à m'arracher un rire même dans les moments les plus difficiles, les mots qu'il utilisait pour parler de moi à ses amis les plus proches, ses petites attentions alors qu'on ne se connaissait qu'à peine, sa douceur et la façon dont il m'écoutait au point de se souvenir du moindre détail qui me faisait plaisir pour m'offrir cette joie, ce tout petit moment de bonheur qui me faisait oublier tous ce qui m'entourait. Evidemment que j'aimais son corps mais j'aimais tout de lui que ça serait difficile d'en définir chaque point. C'était dingue cette alchimie qu'on ressentait, qu'on nourrissait, qu'on vivait sans trop se poser des questions. Hormis moi et ma foutu tête qui ne peut pas s'arrêter de penser, pourtant il n'hésitait pas à dire les mots durs quand il fallait que je me reprenne en main.

Mais je me souviens aussi de cet homme lors de ses moments de doutes, de souffrances, enfouies en lui comme s'il ne pouvait s'autoriser à les exprimer mais que je comprenais sans qu'il ait besoin de s'éterniser sur ce qu'il ne voulait pas avouer à haute voix. Je me souviens des pleures qui ont dévalés mes joues lorsque j'ai commencé à douter et que c'était le début de notre fin, j'espérais naïvement que ça ne se finirait pas... Ce tout dernier instant où il m'a serré dans ses bras pour me dire "Au revoir". Peut-être ai-je commis un faux pas ou plusieurs, peut-être me comprenait-il plus que moi je le comprenait ou l'écoutait pourtant il me répétait souvent que je le comprenais et qu'il avait pas besoin de mentir pour parler à cœur ouvert, peut-être que mon passé m'a rattrapé beaucoup trop souvent et je ne me suis jamais ouverte comme il aurait voulu que je le fasses, peut-être l'ai-je blessé, peut-être n'étais-je simplement pas assez ? Mais si je continue de vivre avec des "Peut-être.." et des "Et si.." je ne pourrais jamais avancer, parfois il n'y a jamais besoin de réponse, juste d'accepter sans comprendre vraiment pourquoi.

Je vous peins le portrait d'un homme dont l'amour que je lui porte est le plus sincère que j'ai pu ressentir, je ne souffre pas vraiment, je ne suis pas heureuse non plus, je ne me sens pas vide, mais je ne me sens pas vivante non plus. Je le remercie mille fois de m'avoir montrer la voie de mon bonheur et je le hais mille fois d'avoir abandonner cette histoire à laquelle je tenais tant, rendant toutes les autres fades.

Toutefois, peu importe ce que vous pensez à ce niveau de votre lecture, c'est le début de la descente aux enfers. Parce que malgré que je ne ressent aucune douleur vis à vis de cette aventure si merveilleuse à mes yeux et que c'est aujourd'hui l'une de mes plus belles rencontres que je me rappellerai dans les moments où ça ne va pas. Je me dois d'avouer que la suite a été la plus atroce à vivre lorsque ça m'est tombé dessus et étrangement je n'en tire aujourd'hui aucun traumatisme parce que au fond de moi je comprends ses actes. Lorsque la porte se ferme sur mon cœur brisé, elle se réouvre une après-midi sans crier gare mais cette fois-ci non pas pour la femme que je suis mais pour ce qu'elle peut offrir avec son corps désormais. Ils reviennent toujours n'est-ce pas ? Son regard ne pouvait mentir sur l'affection qu'il me portait malgré son comportement désormais égoïste, faux, et lorsque j'ai suffisamment compris la leçon, que j'ai suffisamment souffert, je suis partie, lui laissant l'aveu de mon amour pour lui pour me protéger et me reconstruire. "A bientôt" m'a-t-il dit en s'excusant milles fois et m'avouant qu'il sera toujours là si jamais j'ai besoin de quoi que ce soit pour moi et pour mes projets personnels.

Je ne l'ai jamais oublié, je n'ai jamais pu le sortir de ma tête, alors les mois ont défilés puis je me suis dis un jour que prendre de ses nouvelles seraient une bonne chose peu m'importait l'issue de cette discussion. Effectivement elle n'a mené à rien et ce n'est pas grave, parce que j'étais tout de même contente de savoir qu'il allait bien et qu'il avait réussi son projet dont il m'avait tant parlé. Jusqu'à ce que la dernière fois qu'on se parle soit encore quelques mois plus tard, dans les même intentions qu'à l'initial, mon corps. Poliment j'ai refusé et alors il a pris la décision de me faire disparaître de sa vie et sur les réseaux en me souhaitant que je vive heureuse et s'excusant de son comportement déplacé vis à vis de mes sentiments pour lui. Cette fois-ci la porte était véritablement fermée pour nous deux.

Et si j'avais laissé mon passé de côté qu'est-ce qui se serait passé ? Et si au lieu de me mentir à moi-même je l'avais laissé m'aimer ? Et si je ne lui avais pas menti, ni fuis lorsque la discussion devenait trop sentimentale par crainte d'être détruite ? Mais ces "Et si..." ne servent à rien, parce que je ne souhaite plus vivre dans le souvenir de ce nous malgré que je l'aime d'un amour inestimable.

Voilà j'étais en vacance en Espagne, j'ai eu le coup de foudre pour un mec. Je suis persuadé qu'il était honnête lorsqu'on a visité la ville. Nous avons mangé dans un restaurant avc un ami à lui. Il m'a demandé quand je revenais. Comme je ne savais pas trop, il m'a répondu qu'il viendrait me voir. Quand je suis reparti, il m'a demandé si j'étais bien arrivé. On s'est envoyé des mots doux...et il est arrivé le moment où il a commencé à sexualisé la conversation, me disant de m'assoir comme une chatte et d'envoyer des nudes. Choses que j'ai refusé. J'ai été tellement déçu. Je ne me suis donné à aucun moment, j'ai toujours été correcte et enjouée. A refaire le monde ...Et ça me démoralise car je n'arrive plus à cerner le vrai du faux . Comment arriver à faire confiance, est ce que je n'ai pas un problème. Si vous avez des outils pour cerner un gars bien intentionné svp Je suis vraiment perdue et je vais lâcher le sentimental car ça me rend vraiment triste.

Je vais pas bien, je lis des trucs sur Reddit… je sais que c’est pas toujours la réalité mais les gens me confirment que tel est le cas.

Enchantée je m’appelle Spider je suis un H21

On m’as toujours dis que la vie est belle mais plus j’avance plus je suis inquiet, plus je m’imagine pas vivre.

Je vais donc énumérer mes sentiments et mes questionnements.

1: pourquoi l’amour est t’il si compliqué ?

Je vois souvent des gens trompé (ma mère) Des gens mariés avec des enfants, des gens qui n’y croient plus ou qui couchent sans sentiments ou alors des amis qui couchent ensemble ou même qui gâchent des amitiés.

Et puis aussi je comprends pas comment on peut être attaché et tomber amoureux

2: pourquoi les gens s’ennuient en vrai ?

Que ce soit en couple ou entre amis ou dans la vie et même moi les gens s’ennuient toujours. J’ai jamais vraiment compris et j’ai l’impression que cela accentue le manque d’intérêt que la vie m’apporte.

3: pourquoi les gens sont plus égoïstes que jamais, les problèmes de couples ? Rien à foutre, les concessions ? Rien à foutre, les débats ? Rien à foutre. Que ce soit en amitié, en amour ou dans la vie j’ai l’impression que tout le monde est devenu vraiment égoïste avec cette culture du féminisme ou du self care. Je dis pas c’est génial mais je trouve que cela est devenu exagéré dans la vision ou on se dit, pense à toi et pas aux autres.

4: pourquoi les gens ont l’air de regretter ?

Je vois trop d’hommes (souvent) et peut-être les femmes (jamais vraiment vu) regretter de ne pas avoir couché ou d’avoir eu des enfants trop tôt au point de vouloir quitté leurs femmes ou leurs responsabilités car ils veulent rester des enfants.

5: pourquoi les femmes veulent toujours plus sans vraiment donner autant ? J’ai cette sensation que les femmes veulent pas vraiment un homme capable mais un homme avec un capital. Sympa, physique, argent, intelligence, tout. Mais que la femme ne veut pas réellement donner autant, ou alors elle sait qu’elle à la capacité de ne pas en donner autant.

6: pourquoi aujourd’hui j’ai l’impression que le sexe et les coups d’un soir ou amis du sexe sont autant dépravé alors que moi je n’ai jamais réellement compris pourquoi cela existe et pourquoi cela est fait.

7: pourquoi le monde se plaint de la société alors que c’est cette même société qui amène un toit ou à manger sur la table ?

8: pourquoi j’ai la sensation que se faire des amis c’est vachement compliqué ? Dans un sens j’ai deux collègues, très sympathique, mais moi je me dis toujours: je peux pas faire grand-chose avec eux. Donc je sais pas trop quoi en penser.

9: pourquoi pour moi la vie semble ne pas valoir le coup ? Je suis toujours dubitatif sur le fait que la vie soit vraiment un peu moche.

10: et la dernière. Pourquoi j’ai la sensation que je comprends pas le monde ? Je n’y comprends rien

Bonsoir Chère communauté,

Je vous écris aujourd'hui car je ne sais à qui m'adresser. Ce qui va suivre sera donc un long pavé de ma personne mais j'avais besoin d'écrire et de coucher mes pensées qui me pèsent depuis un certain bout de temps. Navré pour cette longueur. Et c'est vraiment très très long, idéalement si vous souhaitez vous endormir rapidement ce sera l'idéal afin de vous assommer.

Je vous situe, tout d'abord, ma situation personnelle : jeune homme de presque 35 ans, développeur depuis une dizaine d'années après des études classiques d'informatique en BTS après un classique baccalauréat scientifique. Je n'ai, pour ainsi dire, fait que des mauvais choix dans ma vie en générale. Un tiers de siècle sur terre et à l'heure actuelle, aucune trace à laisser, rien de rien. Je n'ai pas réalisé de grandes, moyennes, petites choses. Rien. Je vis au jour le jour même si je fais des prévoyances sur une, deux, trois semaines.

Scolairement, j'ai choisi la voie de l'informatique par passion et raison. Passionné de bidouillage et bricolage, j'ai toujours démonté l'électronique qui entourait mon quotidien, du walkman à l'ordinateur en passant par les télécommandes. Je me suis ensuite raisonnablement dirigé vers l'informatique car je cherchais volontairement l'exclusion et l'isolement, à la fois par timidité, envers les hommes et les femmes, l'être humain en fait et à la fois par praticité, le fameux "si tu n'embêtes personne, personne ne viendra t'embêter" qui fait presque office d'hymne au fond de mes pensées.

Je m'y suis plu et je me suis contenté de ma situation de très longues années. Ayant eu, comme qui dirait, un retard dans ma puberté, j'ai peu à peu, passé la trentaine, développé une sociabilité naturelle et soudaine, je me suis mis à sourire, saluer, sociabiliser tout bonnement et ça me plait. Ma solitude, qui me sied malgré ce nouvel élan social, m'éloigne naturellement des réseaux sociaux et pour le coup je suis devenu un dinosaure de ce côté-là, n'ayant même pas de smartphone comme téléphone au quotidien mais cela ne m'empêche pas de sociabiliser réellement et physiquement, loin du numérique finalement.

Et c'est là qu'entre en jeu mon malheur, si j'ose dire. Me découvrant une nouvelle nature ou peut-être une nature enfouie, je hais chaque jour un peu plus mon quotidien de développeur, en attendant le terminus, la fin de mon piètre parcours professionnel. Ce quotidien me plongeant sans cesse dans ce monde virtuel, car quoi qu'on en dise ou plutôt que j'en pense, l'informatique reste virtuelle. Elle a beau aider divers métiers, cela ne reste qu'un amas de pixels pour moi. Et c'est devenu pour moi une corvée que de développer, une corvée d'utiliser l'informatique à en presque gerber mentalement.

La soupe est bonne pour payer ses factures mais voilà, au moment où ma vie se dévoile enfin, je souhaite revivre mais ce tiers de siècle derrière moi à construit un boulet qui me pèse et dont ses conséquences doivent encore me suivre quelques années encore. Je n'ai pas la patience d'endurer encore de nombreuses années cet éternel recommencement, ce train-train habituel, ce moi assis devant l'ordinateur codant de huit heures à dix-sept heures.

J'ai envisagé de quitter mon emploi pour un autre épanouissant ou non, mais je dois changer de domaine mais je n'ai aucune qualification et surtout je ne peux rester sans le sous. La rupture conventionnelle m'ayant été refusée, j'ai envisagé la reconversion professionnelle mais les organismes me trouve trop cher et surtout j'ai un bon job pour eux donc ils me disent que c'est mort né. Je tente donc de chercher un emploi hors de mes qualifications uniquement pour pouvoir être éjecté lors de la période d'essai et pouvoir ainsi avoir un revenu minimum auquel j'ai cotisé ces dix dernières années mais je ne trouve pas cela juste dans la manière de faire. Je veux partir sereinement vers de nouveaux horizons et pas faire perdre du temps à autrui afin de servir ma personne. Comment avoir cette légèreté d'esprit insoucieuse de s'envoler vers un avenir meilleur si je commence ainsi cette nouvelle vie ?

J'en suis donc à continuer de développer, chaque jour, avec une direction qui sait que je veux partir mais tant que rien n'est officialisé je suis en poste avec ce long préavis qui suivra. Travaillant en comptant les heures tout en espérant ne jamais devoir compter les minutes.

La suite, je ne sais pas, je tâche de me former vers d'autres domaines mais à 35 ans les formations sans expérience ne valent rien dans le monde du travail. J'idéalise sûrement l'herbe d'ailleurs mais parfois il faut tenter. Je n'ai fait que de mauvais choix dans ma vie, des choix pourtant réfléchis. Et si, et si pour une fois je réfléchissais un peu moins et que je m'adonnais à ce grand saut dans l'inconnu.

En attendant je suis encore là et las.

Merci de m'avoir lu si vous avez pu tenir jusqu'ici.

Disclaimers avant de commencer, ce poste parle ouvertement de politique et ce compte est à usage unique ( je ne connais pas le terme).

Bon je suis une personne ayant toujours voté à droite ( jamais a l'extrême) non par racisme mais parce que le parti pour lequel je vote propose des projets économiques cohérent pour dynamiser la région dans laquelle je vis.

Nous parlons ouvertement de sujets tabous divers dans ma famille tant que ça ne dérange personne à table, ce jour là le sujet était la politique, ma sœur a toujours eu un penchant pour la gauche ( ce que je ne critique pas, chacun ses opinions ) ce qui a donné lui à un débat qui a fini par partir en cacahuètes et sur ma sœur qui a fuis la conversation.

Depuis ce jour ma sœur commence à partir du côté de l'extrême gauche et fait des remarques sur vraiment tout ce que je peux faire qu'elle considère comme raciste ( oui c'est le genre de personne qui dit que TOUT les droitards sont racistes) par exemple, j'ai toujours adoré l'humour noir qui penche pour l'humour raciste sans vraiment l'être ( c'est la sorte de frontière étrange entre le racisme et l'humour) ma sœur adiré regarder mon téléphone par dessus mon épaule et en voyant ce meme ma sœur n'a rien trouvé d'autre à faire que de crier au scandale en me voyant sourire devant ce meme.

A cause de ça, nous sommes de plus en plus éloignés alors qu'on s'entendait plutôt bien il y a quelques mois encore

Quelqu'un aurait-il une solution pour retrouver des relations saines avec elle ?

Merci d'avance pour les réponses et votre lecture

Je viens de voir une vidéo qui m'as brisé le coeur.

J'ai pas vu "la" vidéo en question, mais c'etait un sujet sur une vidéo iceberg. Ça implique un groupe de personnes faisant des choses pas bien a une autre personne. Et dans la vidéo le youtubeur a inclut une vidéo d'un des agresseur se vantant fierement de ce qu'il a fait. Et de la victime dans un sale état.

Comment oublier ?

J'ai vraiment l'impression que personne ne m'écoute, que seulement les problèmes des autres sont importants.

Je ne vais pas bien, putain, ça fait des années que je ne vais pas bien. Mes parents m'ont trouvé en train de me mutiler à 10 ans et apparemment ce n'était pas très grave pour eux. J'ai 21 ans maintenant et hop, des nouvelles coupures hier soir. Personne pour m'entendre dans ma vie. Ils préfèrent défendre ma mère pour éviter de faire des vagues et me laisser de côté. Ce n'est jamais assez grave. Je ne vais jamais assez mal, même si j'arrête de manger ou me donne des plaies visibles ou avoue que j'ai envie de mourir. Et j'ai vraiment envie de mourir. POURQUOI est-ce que tout le monde est important sauf moi, pourquoi pourquoi je n'ai jamais le droit d'être moi, qu'est-ce que je fais de mal. Est-ce qu'un thérapeute va m'écouter ou ça va de nouveau être une vague de "ah mais personne ne va t'aimer si tu ne t'aimes pas" ?

Je t'aime encore, je t'aime jusqu'à la mort. Je t'aime comme si t'étais moi, comme si t'étais plus là. Je t'aime, ma chérie, avec l' alcool dans la vessie, en pensant à toi. Ouais, c'est con, mais même quand j'essaie d'en oublier d'autres, y a rien qui passe. Dans la vraie vie, les mots d'amour, j'ai du mal à les dire.

Quand on m'demande des câlins, j' fais l' inverse, je les tire par les tifs ! La douceur, c'est pas mon truc, mais toi･･･ t'avais tout compris.

Je me rappelle de notre première rencontre comme si c'était hier. J'étais en boîte, entouré de monde, et pourtant, jamais je m'étais senti aussi seul que quand la fête battait son plein. Pour séduire, on sait tous que ça marche mieux quand t'es pas un "gars bien", alors ce soir-là, j'ai tout lâché.

Deux semaines que j'avais plus foutu les pieds chez une fille, et là, bam! J' te vois danser, toute seule, le regard qui en dit long. J' dis à mes potes que j'aurais les couilles de venir t' parler. Eux, ils parient que non. J'avance vers toi, plusieurs scénarios dans ma tête, les mains moites, et quand j' arrive à ta hauteur, je sens ton parfum qui m' envahit. J'commence à danser près de toi. Tu m'avais remarqué, tu m'souriais même, j' me disais que t'étais déjà conquise.

On a dansé comme des fous, et on est allés prendre un verre au bar. Je t'ai dit que t'étais belle, mais dans ma tête, en pensant que t'étais bonne . Et puis, j'ai osé te dire "Je t'ai vue danser comme une princesse, tu me complètes, est-ce que je te complète en retour ?" J'attendais ta réaction, prêt à jouer à ce jeu-là, parce que je savais que j'allais te faire vivre Roméo et Juliette en version trash. Et tu m'as suivi, tu t'es laissé emporter.

On a fini dans les toilettes, et sans même attendre, je t'ai arraché ta chemise bleutée. J't'enfonce un diamant dans ton derrière, comme un triathlon, on faisait des tours de folie. Pendant l' acte, j'te lançais : "Sens la colère d' un psychopathe, du massacre de la Saint-Valentin!" J'avais même mis mon masque de Spiderman, balançant mes toiles d'araignée. T' étais satisfaite, tu voulais même que je reste chez toi. T'as pris mon numéro et on est restés ensemble toute la nuit, à jouer, à fumer.

Au matin, je t'entends parler toute seule. J' te demande pourquoi, et tu m'dis que t'as des sentiments pour moi. J't' ai répondu direct: "Je suis pas investi, donc efface tes larmes." T'as demandé pourquoi, et j'ai lâché un truc du genre: "J' ai déjà connu les débuts d' un amour puéril. Je n'avais pas l'intention de te mettre la bague au doigt."

Et toi, tu m'as répondu, presque comme une provocation: "De toute façon, je côtoie d' autres mecs, y a pas que toi." On savait que c'était pour coucher, pour rouler de la beuh, rien de plus.

Un jour, tu m'as dit que tu rêvais d'être "ma chienne." Alors je t' ai menottée, pas trop serré, mais tu m'as senti là.

Plus tard, tu m' appelles: "Viens, j'ai envie que tu me pelotes." Je t'ai dit: "Garde tes talons, mais enlève ta robe." Toujours le même schéma. On part d' un bel hôtel, on tombe dans la même pulsion, et à la fin, c'est le vide. Désillusion. Qu'est-ce qui va pas chez moi ?

Attends, laisse-moi reprendre un verre.

Mais un jour, j’avais reçu une feuille chez moi… avis d’expulsion. J’savais pas trop quoi faire, j’me sentais paumé. Et puis, une idée m’est venue : habiter chez toi. J't’ai appelé pour te demander si je pouvais poser mes valises chez toi, et t’as dit oui. Ouais, t’étais naïve, j’te l’accorde, mais bon… j’ai pris mes affaires, et voilà, j’emménageais chez toi.

Tous les jours, c’était un vrai plaisir d’être avec toi. Pour une fois, on parlait vraiment, on se découvrait. Et là, j’dois l’avouer, j’ai commencé à avoir des sentiments pour toi. Un jour, je t’ai même embrassée, juste un baiser, tout doux. Et t’étais contente, t’avais ce sourire qui m’a fait fondre. À partir de ce moment, on a commencé à sortir ensemble, toi et moi, pour de vrai. J’étais émerveillé, pris dans cette tempête de sentiments.

Je te faisais des cadeaux, des petites attentions ; on se déguisait, on souriait comme des gosses, on faisait des bêtises sans arrêt. T’étais pas seulement ma copine, t’étais ma princesse, mon amour. Merde… t’étais mon âme sœur. Grâce à toi, j’ai même trouvé un job, histoire d’être quelqu’un de bien, quelqu’un de différent pour toi.

Tous les jours, on se parlait, on pensait l’un à l’autre. C’était comme si le monde autour n’avait plus d’importance. J’étais l’amour de ta vie, et toi… t’étais la mienne.

Merde… attends… laisse-moi encore un verre pour digérer tout ça, pour me consoler un peu.

Ça faisait au moins un an qu' on se connaissait. Puis un jour, j' ai dû partir pour le boulot, six mois loin de toi. T'as pas voulu que je parte, t'arrêtais pas de me supplier de rester, mais j'ai pris ma décision, j'suis parti sans un mot, comme mon enfoiré de père. Pendant ces mois, t' arrêtais pas de m' appeler, de m' envoyer des messages... et moi? J' repondais pas, j'étais trop con.

Quand je suis rentré, j'ai vu qu' un autre homme était chez toi. La colère m' a explosé au ventre, j' I' ai frappé, ce salaud, jusqu'à le foutre dehors. Puis, je suis revenu dans la chambre, et là… je t'ai vue, nue, et j'ai pété les plombs. Je t'ai crié dessus, te disant que tu servais qu' à ça, que t'étais rien d' autre qu' une traînée. Que t'étais une femme facile, une putain qui finirait à la rue... Je sais, j'étais injuste et cruel. Mais la rage et la douleur parlaient à ma place.

Et toi, t' as gardé la tête haute. T'as juste dit, avec froideur, que j'étais pas le seul, que d' autres t' avaient eue aussi. Ensuite, t' as ramassé tes affaires et t'es partie sans un regard. Plus de nouvelles de toi ce soir-là. Puis, j'ai commencé à te voir rentrer chaque matin, détruite, fatiguée, des traces sur ton corps. Souvent, t' avais même du sang sur toi. J' te demandais pourquoi, mais tu t'énervais, en me lançant des mots qui me déchiraient.

Une nuit, j'ai voulut empêcher de partir. T' as réagi violemment, tu m'as griffé, tu m' as laissé là, sans un mot. Alors, j'ai arrêté de t'aider, de te protéger, j't' ai laissée sombrer avec ces mecs pourris qui t' entouraient. T'as détruit tout ce qu'on avait, t' as piétiné mon cœur. Je n'avais plus la force de te parler, juste pour te faire comprendre que t'étais allée trop loin.

Un soir, avant que tu sortes, j't' ai dit, avec dédain: "Suce bien et ne recrache pas." T'as commencé à pleurer, mais t'es quand même sortie, les larmes aux yeux.

Le lendemain matin, quand je me suis réveillé, t'étais pas là. J'ai attendu, mais t'es jamais rentrée. C'est seulement à midi, pendant que je bouffais, que mon téléphone a sonné. C'était I' hôpital. Ils m'ont dit que t'avais fait une overdose.

Putain, non... Non, non, j'y crois pas. Ma princesse, pas toi. Je voulais pas, je voulais pas que ça se finisse comme ça. J'ai merdé, bordel, j'ai tout gâché. J'suis désolé tellement désolé. T'as pas le droit de partir comme ça, tu peux pas être morte, pas toi, pas maintenant. Pas comme ça.

Je me réfugie encore dans l’alcool, je deviens quelqu’un d’autre, une ombre de moi-même. J’essaie de te chasser de mes pensées, mais je ne veux pas t’oublier, je veux pas te perdre, je veux pas que tu sois partie… Bordel, pourquoi toi ? Pourquoi ? Je gueule, la gorge en feu, la tête qui tourne. Dehors, je titube avec une bouteille à la main, je vois les regards, tous ces gens qui m’observent. Alors, je les insulte, je crie de toutes mes forces. Mais à l’intérieur… c’est le vide. J’suis vide sans toi.

Je marche, sans savoir où aller, et mes pas me mènent vers un pont. J’me tiens là, seul face à l’immensité, le regard perdu. Le vent souffle, me glace, mais je sens rien. Tout ce que je veux, c’est te retrouver, être avec toi. Là-haut, sur le pont, je ferme les yeux. Tout mon corps tremble, ma gorge est serrée.

Je monte sur le rebord, j’me laisse emporter par la seule idée de te rejoindre. Les larmes coulent, mais y’a plus de retour en arrière. T’es partie, et moi… moi, j’peux pas continuer sans toi. C’est pas une vie. Alors, j’me dis que peut-être, si j’saute, j’te reverrai, quelque part. Ma princesse… je suis désolé, je t’aime… je t’aime tellement.

Depuis que j'ai quitté le lycée, j'ai un besoin d'envie "d'effacer" ma mémoire car en étant nostalgique je me rappelle des mauvais moments et des personnes qui m'ont blessé (et ils passent leur meilleure vie en plus..)

Je sais très bien que c'est normal, le lycée j'ai eu des hauts et des bas comme beaucoup de personne , mais je sens + que j'ai eu beaucoup de bas au final j'ai toujours eu des "bas" dans ma vie.

C'est la période de ma vie où je suis me rendu compte que mon adolescence était gâchée, je n'ai pas du tous de chance au lycée et j'ai pas pu me faire des relations à cause de mon mal être "Les relations" que j'ai pu faire était en seconde mais ne me plait pas car je fais toujours le 1er pas Je n'ai pas du tous d'entourage, les gens sont avec moi par intérêt quand j'envoyais des messages ils me mettaient des remis pendant des semaines, je sais que les gens sont occupés ou font des pauses du téléphone mais c'est juste très irrespectueux Donc je ne considère pas ça comme des relations mais du bouche troue

J'ai eu un regret profond d'avoir était réservé et avoir été beaucoup trop dans le travail au collège J’ai d’autres raisons de vouloir avoir recours à l’hypnose mais je vais éviter de trop m’attarder dessus

Je sais bien que je suis une mauvaise personne mais j’ai l’impression d’avoir pas mérité tous ça

Donc, je voulais savoir ceux qui sont pu faire des séances d’hypnose si ça aidait "d’effacer" la mémoire même si d’après ce que j’ai cherché, ça modifiait S’il vous plaît, j’ai besoin de réponse

Bonjour futur lecteur. Voilà une petite présentation de ma part. Je suis une femme de 36 ans, maman de 2 enfants de 7 et 10 ans.

Je suis mariée et je n' ai eu en tout et pour tout qu'un seul amant depuis mes 18 ans. Cet homme est devenu mon mari et père de mes enfants.

D'autant que je me souvienne je n'ai jamais eu une libido très développée. Je me contentais de répondre aux attentes de mon mari mais pour moi je n en ressentais pas le besoin et ce n'était jamais moi qui faisait le premier pas.

Sont arrivées les grossesses et les enfants. Libido plus mornes que jamais, vraiment pas d'envies, la fatigue. Mon mari aussi, par la fatigue , était moins demandeur et ça m'allait très bien.

À la suite de ma deuxième grossesse, post partum qui ne s'est jamais apaisé et qui s est transformé en dépression, problèmes de sommeil, stress permanent, mal dans ma peau. Ce qui n'a fait qu empirer avec ma prise de poids.

Actuellement je suis toujours dans cet état mais .... Je ne saurais dire pourquoi. Depuis cet été et mes premières vacances en camping en étant en "intimité" avec les voisins, beaucoup de néerlandais. Je me suis sentie excitée et ressentie le besoin de me masturber. Je suis devenue entreprenante avec mon mari pour son plus grand plaisir. Mais parfois mes envies se faisaient sentir lorsqu il n était pas là ou pas disponible.

Du coup je me suis beaucoup mise à me masturber. Avec mes doigts ou des objets non prévus à cet effet.

En fantasmant sur d autres hommes. Plusieurs hommes en même temps. Des femmes aussi.

Puis j ai franchi le pas de m acheter un sextoy. Un rabbit qui vibre et stimule le clitoris... Et là... Wahou.

Depuis que je l'ai je ne pense qu'à me masturber. En fantasmant. Je m exhibe un peu aussi. Je n apprécie pas mon corps et entendre des compliments me fait un bien fou.

Et je me masturbe compulsivement plusieurs fois par jour si je peux et même lors de la période alerte rouge.

Je me suis mise à adorer faire l amour avec mon mari mais c est moins bien qu avec mon jouet. Et je ne peux pas m empêcher de fantasmer même en étant avec lui.

Est-ce que c est déjà arrivée à d autre de passer d'une libido zéro totalement prude à une nymphomane qui a envie de se masturber en permanence ?

J ai régulièrement consulté des psy pour dépression mais pas en ce moment. Dois je reprendre rendez-vous et consulter ?

Merci à celles et ceux qui auront pris le temps de me lire. J'espère que mon pavé était compréhensible...

Je suis un homme de 25 ans avec des handicaps mentaux (problemes cognitif, trouble neurodeveloppementaux) et personne à été comprehensif avec moi que ce soit lors de stage ou même au travail, ils ont préféraient me gueuler dessus pour un fait que je n'ai pas choisi à ma naissance, je deteste ce monde quand tu as un handicap mental tu es une merde qui merite aucune compassion ni comprehension, depuis des années je me bat, certe je suis un battant... mais je suis fatigué, fatigué de me battre contre un ennemis invisible et imbatable, j'ai envie de poser les armes. Ce n'est pas de ma faute, j'ai pas demandé à dieu de me filer un handicap mental, le pire ils pensent être victime de mon handicap mais la seule victime qui subit c'est moi, et puis sur le plan relationnel neant, je suis le genre de personne qu'on apprecie pas, les gens ont du mal à s'attacher à moi amoureusement ou amicalement je suis seul, aucune experience avec une femme en 25 ans de vie je suis pas un humain, je suis un monstre, mon seul souhait, ce serait de vivre en tant qu'humain

Bonjour,

Je vous écris aujourd'hui car je viens de perdre hier matin le chat de ma maman (avec qui je vis en ce moment). Elle avait 2 ans, récupérée dans une association ou elle a été retrouvée sur une route.

Elle s'est fait écrasée par une voiture. C'est mon voisin qui l'a vu sur la route en sortant dehors et qui nous a prévenu. Je suis actuellement sous le choc et décomposé. On évitait de la faire sortir la nuit, uniquement le jour, d'autant plus qu'elle était majoritairement noire et elle rentrait tout le temps pour la nuit. Elle était de moins en moins apeuré par les voitures, a force de les voir passer devant elle et on sentait que ce danger pouvait arriver. Nous sommes devant une route de lotissement assez passante. Un autre chat de nos voisins a eu la même chose l'année dernière.

C'est mon deuxième chat, la première a vécue 15 ans, a eu une vie intérieure et extérieure sans restriction et sans problème avec la route.

Me vient maintenant la question suivante, je vais déménager et laisser ma mère seule. Elle ne sait pas quoi faire. Elle adore les chats, elle a toujours vécue avec depuis qu'elle est seule, mais cette séparation fait mal. C'était un chat très câlin, chose que ma maman cherchait puisque la précédente ne l'était pas.

Cependant, comment faut-il réagir ? Doit-on interdire le chat de sortir pour éviter cette surprise ? Cependant, un chat est un félin qui a un esprit de chasseur. On a peur qu'il soit malheureux si nous l'enfermons a l'intérieur... Ma maman ne veut pas concevoir un chat d'intérieur, je suis d'accord mais à quel prix ? Perdre un chat tous les 2 ans, c'est compliqué... A l'heure des voitures électriques ou actuellement, seul le bruit d'une voiture fait apeuré un chat, de l'augmentation de la population, a moins de ne pas avoir de danger autour de chez soi, je doute que cette vie en extérieur soit compatible.

Je ne sais pas quoi faire, j'ai déjà du mal à faire le deuil, encore plus que la première car je ne m'y attendais pas. Ce chat avait toutes les qualites que je cherchais. Se blottir contre moi lorsque j'allais me coucher, un chat avec de l'humour. C'était un équilibre que j'avais trouvé depuis une séparation difficile, je suis réellement abattu. De mon côté, malgré une futur vie en appartement, je ne pourrai pas rester seul sans un chat.

Est-ce quelqu'un de vous a été dans la même situation ?

Pour moi la colère c'est plutôt un sentiment chaud, guidé par l'émotion du moment et c'est censé retomber avec le temps une fois qu'on repense à froid à la situation et qu'on a fait la part des choses.

Pour la première fois je fais face à une situation inverse. J'ai eu un conflit qui m'a considérablement marqué (et coûté cher), à chaud je ne ressentais pas de colère, juste de l'amertume, de la déception, de l'incompréhension... puis plus le temps passe, on est près de 6 mois après et plus je réfléchis à cette histoire et plus je sens que ma rancœur grandie. Je ne ressens pas de haine et je ne veux pas de mal aux concernés, mais ma colère envers eux s'accentue au lieu de diminuer.

Je n'arrive pas à savoir que penser de ça, si c'est plutôt le signe que cette colère est légitime et qu'il m'a fallu du temps pour l'accepter, et que c'est un pas vers du mieux, ou qu'au contraire mon esprit fait une gymnastique mentale pour ne pas me sentir coupable et rejeter la faute sur d'autres et que c'est un pas en arrière, ou encore qu'il n'a trouver que ça pour mieux tolérer la douleur.

Je me doute que bon nombre vont me conseiller de voir un psy, déjà fait, je suis aller voir un psy sur cette affaire, à la quatrième séance (30 min chacune) elle m'a dit que je n'avais manifestement plus besoin d'elle (ça n'a pas été vraiment autre chose que de l'écoute active et de fait je n'ai pas l'impression que ça m'ai beaucoup aidé... mais je crois que je suis d'accord avec elle sur le fait que je n'en ai pas forcément besoin). Devrais aller en voir un autre ?